Épilogue : L’inévitable spleen de fin de Tour

– Merci de nous avoir suivi pendant ces trois semaines de course pour la plus belle épreuve sportive du monde, tout ça dans le plus beau pays du monde avec ces paysages si variés et enchanteurs. Quelle chance de vous avoir fait vivre ce Tour de France en compagnie de mes amis et consultants favoris Lolo Braquet et Paulo la France, nous avons adoré cette édition, imprévisible jusqu’au bout ! Des écarts infimes sur le podium final, des victoires françaises dont la plus belle, celle du 14 juillet, que demander de plus…

– Tu vas me faire chialer Jean Micro arrête. J’ai pas chialé depuis la communion de mon fils Tiago et les 8 secondes séparant Greg Lemond de Laurent Fignon en 1989. Rien que d’y repenser j’en ai mal au cœur.

– Profitons-en pour remercier toutes les personnes qui ont suivi les anecdotes géographiques plus ou moins utiles de Paulo et les spectateurs qui ont appris plein de choses sur le vélo grâce à toi mon Laurent. Nous leur donnons rendez-vous l’année prochaine pour nous suivre à nouveau danslarouedutour !

– Tu as bien raison ! Et c’est aussi l’occasion de remercier toutes les personnes sympas que l’on a rencontrés sur les bords de route, notamment nos amis de deux degrés à Périgueux et Lalinde ou nos amis de la pédale en folie sur les pentes du col d’Agnes. Certains n’avaient pas bu que de l’eau ! Ou alors si, avec un peu de Ricard !

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